La 7ème édition du Grand Prix Moussolou s’est déroulée ce samedi 30 novembre 2024 à l’hôtel Kaloum de Conakry. Cet événement annuel vise à mettre en avant et à célébrer les femmes africaines de Guinée qui se sont distinguées dans leur domaine pour contribuer au développement socioéconomique de leur pays. Vingt femmes ont été sélectionnées pour cette édition selon des critères rigoureux définis par les organisateurs, les désignant comme des modèles de réussite.
Parmi les lauréates de cette année, Madame Camara née Kadiatou CONTE a été mise à l’honneur. Présidente de l’association guinéenne de la presse écrite et directrice générale de l’agence CONCAM, elle a été très touchée par cette reconnaissance. Dans son discours de remerciement, elle a dédié ce prix à tous les membres de l’AGPE, à son époux et à ses collaborateurs, soulignant l’importance du travail d’équipe dans ses réalisations.
<< J’avoue que c’est un agréable plaisir et je suis très honorée de recevoir vraiment ce grand prix. Je le déduis surtout ce prix aux membres de l’AGPE et à toutes les femmes battantes de Guinée. Je souhaite à ce que toutes les femmes guinéennes se lèvent et se battent et essayent de croire à leurs ambitions, à leurs visions, à leurs objectifs. Je pense que nous ne sommes pas les meilleures. Si on a reçu ce prix, c’est qu’il y a aussi des meilleures femmes que nous, mais il suffit tout simplement de se battre matin, midi et soir pour mériter ce qu’on a mérité aujourd’hui. Je dirais tout simplement aux femmes guinéennes de continuer à se battre car le chemin est long. Mais ce qui reste clair, le développement de la Guinée ne peut pas passer sans les femmes. Alors il est important à ce que nous les femmes nous mettons en avant afin de continuer à se battre dans nos différents secteurs d’activité pour au moins arriver là où nous méritons d’être. Parce qu’on dit très souvent que les femmes sont marginalisées, qu’elles ne nous donnent pas le pouvoir. Mais pour avoir le pouvoir, il faut le mériter. Et le pouvoir, ça s’arrache. Ça s’arrache, ça se mérite. Donc il est extrêmement important à ce que nous continuions à se battre, à se former, à se développer, s’il le faut, à avancer, à pouvoir amener. Au revoir. >>

Cependant, malgré la réussite de cet événement et la reconnaissance accordée aux femmes guinéennes, il est important de souligner les défis auxquels certaines structures organisatrices peuvent être confrontées. Comme le souligne le commissaire du grand magazine tamala, l’organisation de cet événement a rencontré des difficultés qui ont failli entraver sa réalisation. Il est essentiel de prendre en compte ces obstacles et de travailler ensemble pour les surmonter, afin de garantir la pérennité de ce type d’initiatives qui mettent en valeur le rôle des femmes dans la société guinéenne.
<<Chers confrères, infiniment, sans vous, cet événement n’a pas de sens. Grâce à vous, aujourd’hui, que j’ai pu tenir cet événement. Donc d’abord, je remercie Allah, je vous remercie vous aussi. Aujourd’hui, vous avez vu, on est en train de faire, c’est la huitième édition qui va venir bientôt. Nous n’avons pas de sponsors. Nous n’avons pas de sponsors. Aujourd’hui, les trophées, le transport des trophées est plus que le trophée. J’ai payé les trophées en Chine, le transport est plus que les trophées. Mais Dieu merci, tout ça là, c’est moi, ça vient de moi. Et quelques personnes qui m’accompagnent, pour que nous puissions faire, ou honorer la femme guinéenne. Si aujourd’hui vous me demandez, je dirais merci à Allah, merci aux femmes. Merci à toutes ces femmes-là, qui ont fait le déplacement. Même ceux qui n’ont pas fait le déplacement, je les remercie infiniment. Parce que le travail, ce n’est pas moi qui l’ai fait. Il y a un comité qui est là, le comité de jury. Pendant plus de trois mois, on est en train de travailler, de 100 femmes, on se retrouve à 20 femmes. 20 femmes là, moi je pense que c’est des femmes, vraiment, qui méritent aujourd’hui d’avoir ce prix. Donc je remercie tout le monde, je remercie la presse guinéenne. Je suis content, à plus d’un titre. >>
Le commissaire de la magazie tamala
Cetre 7ème édition du Grand Prix Moussolou a permis de mettre en lumière les femmes guinéennes qui se distinguent par leur engagement et leur contribution au développement du pays. Malgré les défis rencontrés, cet événement reste une occasion importante de célébrer le talent et la détermination des femmes africaines, tout en encourageant leur réussite et leur épanouissement dans tous les domainesGRAND PRIX MOUSSOLOU
Les femmes sous les projecteurs
La 7ème édition du Grand Prix Moussolou s’est déroulée ce samedi 30 novembre 2024 à l’hôtel Kaloum de Conakry. Cet événement annuel vise à mettre en avant et à célébrer les femmes africaines de Guinée qui se sont distinguées dans leur domaine pour contribuer au développement socioéconomique de leur pays. Vingt femmes ont été sélectionnées pour cette édition selon des critères rigoureux définis par les organisateurs, les désignant comme des modèles de réussite.
Parmi les lauréates de cette année, Madame Camara née Kadiatou CONTE a été mise à l’honneur. Présidente de l’association guinéenne de la presse écrite et directrice générale de l’agence CONCAM, elle a été très touchée par cette reconnaissance. Dans son discours de remerciement, elle a dédié ce prix à tous les membres de l’AGPE, à son époux et à ses collaborateurs, soulignant l’importance du travail d’équipe dans ses réalisations.
<< J’avoue que c’est un agréable plaisir et je suis très honorée de recevoir vraiment ce grand prix. Je le déduis surtout ce prix aux membres de l’AGPE et à toutes les femmes battantes de Guinée. Je souhaite à ce que toutes les femmes guinéennes se lèvent et se battent et essayent de croire à leurs ambitions, à leurs visions, à leurs objectifs. Je pense que nous ne sommes pas les meilleures. Si on a reçu ce prix, c’est qu’il y a aussi des meilleures femmes que nous, mais il suffit tout simplement de se battre matin, midi et soir pour mériter ce qu’on a mérité aujourd’hui. Je dirais tout simplement aux femmes guinéennes de continuer à se battre car le chemin est long. Mais ce qui reste clair, le développement de la Guinée ne peut pas passer sans les femmes. Alors il est important à ce que nous les femmes nous mettons en avant afin de continuer à se battre dans nos différents secteurs d’activité pour au moins arriver là où nous méritons d’être. Parce qu’on dit très souvent que les femmes sont marginalisées, qu’elles ne nous donnent pas le pouvoir. Mais pour avoir le pouvoir, il faut le mériter. Et le pouvoir, ça s’arrache. Ça s’arrache, ça se mérite. Donc il est extrêmement important à ce que nous continuions à se battre, à se former, à se développer, s’il le faut, à avancer, à pouvoir amener. Au revoir. >>
Cependant, malgré la réussite de cet événement et la reconnaissance accordée aux femmes guinéennes, il est important de souligner les défis auxquels certaines structures organisatrices peuvent être confrontées. Comme le souligne le commissaire du grand magazine tamala, l’organisation de cet événement a rencontré des difficultés qui ont failli entraver sa réalisation. Il est essentiel de prendre en compte ces obstacles et de travailler ensemble pour les surmonter, afin de garantir la pérennité de ce type d’initiatives qui mettent en valeur le rôle des femmes dans la société guinéenne.
<<Chers confrères, infiniment, sans vous, cet événement n’a pas de sens. Grâce à vous, aujourd’hui, que j’ai pu tenir cet événement. Donc d’abord, je remercie Allah, je vous remercie vous aussi. Aujourd’hui, vous avez vu, on est en train de faire, c’est la huitième édition qui va venir bientôt. Nous n’avons pas de sponsors. Nous n’avons pas de sponsors. Aujourd’hui, les trophées, le transport des trophées est plus que le trophée. J’ai payé les trophées en Chine, le transport est plus que les trophées. Mais Dieu merci, tout ça là, c’est moi, ça vient de moi. Et quelques personnes qui m’accompagnent, pour que nous puissions faire, ou honorer la femme guinéenne. Si aujourd’hui vous me demandez, je dirais merci à Allah, merci aux femmes. Merci à toutes ces femmes-là, qui ont fait le déplacement. Même ceux qui n’ont pas fait le déplacement, je les remercie infiniment. Parce que le travail, ce n’est pas moi qui l’ai fait. Il y a un comité qui est là, le comité de jury. Pendant plus de trois mois, on est en train de travailler, de 100 femmes, on se retrouve à 20 femmes. 20 femmes là, moi je pense que c’est des femmes, vraiment, qui méritent aujourd’hui d’avoir ce prix. Donc je remercie tout le monde, je remercie la presse guinéenne. Je suis content, à plus d’un titre. >>
Le commissaire de la magazie tamala
Cetre 7ème édition du Grand Prix Moussolou a permis de mettre en lumière les femmes guinéennes qui se distinguent par leur engagement et leur contribution au développement du pays. Malgré les défis rencontrés, cet événement reste une occasion importante de célébrer le talent et la détermination des femmes africaines, tout en encourageant leur réussite et leur épanouissement dans tous les domaines.